Publié dans Sport

Mondial FIBA U20 - « Nos adversaire sont tous abordables », dixit Donavan

Publié le vendredi, 26 mai 2023

Contre vents et marées, Donovan Rakotonanahary est au pays après avoir rencontré quelques difficultés car il n’a pas été autorisé par son école aux Etats-Unis, de représenter le pays à la Coupe du Monde juniors U20 de Basketball à Debrecen, en Hongrie. 

« Si ça ne dépendait que de mon école, je ne serais pas là. Mais c’est mon entraîneur qui m’a convaincu de venir en me disant que c’est une opportunité pour que le monde entier puisse m’observer notamment les clubs en Europe durant ce mondial. C’est une vaste opportunité me disait-il », a tenu à dire l’étoile montante du basketball malagasy, devenue la coqueluche des fans sur Instagram.

« Ils ont le niveau. Même moi, j’ai eu du mal à m’intégrer dans leur jeu. Il m’a fallu trois mois pour m’intégrer. Ils ont la technique qui est vraiment différente de celle des autres équipes. Nous sommes prêts, car des coachs des universités nous suivront à cette coupe du monde et le fait de disputer notre premier match contre les USA est un immense avantage pour nos gars car on aura plus de chance de se faire détecter puisque les yeux du monde entier se focaliseront sur ce premier match des Etats-Unis », explique Donovan Rakotonanahary. « Nos adversaires sont tous abordables mais il faut travailler dur et redoubler d’efforts dans notre préparation », a martelé le pensionnaire de Oak Hill Academy de Mouth of Wilson en Virginie, aux Etats-Unis.

A part Donovan et Mathias, qui sont déjà aussi au pays, il manque deux joueurs pour que les « Ankoay » soient au grand complet à partir du 1er juin. Il s’agit de Dina Randrianalinjafy et Stanley Coolzen, en partance de l’Hexagone.

 

E.F.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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